Langage d'extension SSRS dans les projets de loi de la Commission 9/11 et de correction SAFETEA-LU

Langage d'extension SSRS dans les projets de loi de la Commission 9/11 et de correction SAFETEA-LU

 

Le langage législatif rétablissant le SSRS jusqu'à ce que le nouveau plan d'enregistrement unifié des transporteurs soit opérationnel a été inclus dans la section 1436 du projet de loi du Sénat récemment adopté (S.4) qui met en œuvre la dernière des recommandations de la Commission sur le 9/11. Un projet de loi de la Commission sur le 9 septembre adopté antérieurement par la Chambre ne contient pas le langage d'extension SSRS. Les deux projets de loi iront à la Conférence dans les semaines à venir. Des efforts sont en cours pour conserver l'extension SSRS dans le projet de loi final de la Conférence. Cependant, le sort ultime de ce projet de loi est incertain. Le président a menacé de mettre son veto au projet de loi final relatif aux dispositions élargissant les droits de négociation collective des agents de contrôle des aéroports de la TSA. Certains pensent qu'un compromis sur cette question sera trouvé puisque ni le président ni le Congrès ne voudront être blâmés pour ne pas avoir mis en œuvre les recommandations de la Commission du 11 septembre.

En outre, le langage étendant SSRS est également dans un projet de loi SAFETEA-LU Corrections, HR 1195, qui a passé la Chambre en février. Le Sénat n'a pas encore rédigé et pris des mesures sur sa version du projet de loi sur les services correctionnels. On ne s'attend pas à ce que ce projet de loi particulier soit adopté au Congrès avant juillet au plus tôt.

Le défi jusqu'à présent n'a pas été de convaincre le Congrès qu'une extension SSRS est nécessaire, mais d'obtenir le langage d'extension attaché à une législation qui est sûre de passer le Congrès et d'être promulguée par le Président.

La Commission unifiée d'enregistrement des transporteurs s'attaque toujours à la nouvelle structure tarifaire

La raison pour laquelle il est nécessaire de rétablir et d'étendre SSRS est le fait que la nouvelle structure tarifaire et l'accord du nouveau plan d'enregistrement unifié des transporteurs (UCR) ne sont pas encore achevés et prêts à être mis en œuvre par les États. Bon nombre des 37 États du SSRS sont obligés de réduire les programmes de sécurité routière, en particulier les programmes d'application de la sécurité des transporteurs routiers qui ont été financés par les revenus du SSRS ces dernières années.

Le Conseil UCR a travaillé intensément sur le développement d'une nouvelle structure tarifaire UCR qui couvre l'ensemble de l'industrie du camionnage plutôt que le seul segment pour compte d'autrui, ce qui a été le cas dans le système SSRS. Le Conseil a soumis un projet de structure tarifaire au DOT (FMCSA) pour approbation, après quoi il doit y avoir une période de 90 jours pour avis et commentaires sur le plan. Il a été rejeté à deux reprises avec une demande d’analyse et d’informations complémentaires. La demande la plus récente du DOT demandait au Bureau de prendre en compte le nombre de remorques exploitées par le transporteur ainsi que le nombre de groupes motopropulseurs.

Lors de la téléconférence du 15 mars, la Commission a conclu une entente sur une nouvelle structure tarifaire comprenant à la fois les groupes motopropulseurs et les remorques. Sous peu, cette structure de frais sera présentée à la FMCSA pour examen. Il est à espérer que la FMCSA approuvera cette dernière soumission de la structure des frais et qu'elle pourra être publiée pour avis et commentaires pendant une période ne dépassant pas 90 jours. On s'attend à ce que les sous-comités du Conseil UCR sur les systèmes, le référentiel et les procédures puissent également terminer leur travail au cours de cette même période de 90 jours. Cependant, les sous-comités doivent résoudre des problèmes majeurs.

Avec chaque jour qui passe, il devient de plus en plus improbable que tout ce qui précède se concrétise à temps pour que les États réalisent de nouveaux revenus UCR pour l'exercice 2007. Par conséquent, les efforts législatifs pour ramener le SSRS sur une base temporaire afin de faciliter le développement financier les crises dans de nombreux États du SSRS se poursuivront. Cet effort permettra non seulement de s'assurer que les États se font un trou en ce qui concerne les revenus perçus dans le cadre du système SSRS, qui était l'hypothèse de base dans la section UCR de SAFETEA-LU, mais aussi de continuer à fournir à l'industrie une incitation à soutenir le développement de la nouveau UCR le plus rapidement possible.

Mesures de sécurité des transports également contenues dans la législation de la Commission du Sénat sur le 9 septembre

Le projet de loi du Sénat de la Commission du 9 septembre contenait également des mesures concernant la sécurité des transporteurs routiers, des bus et des matières dangereuses. Ils comprenaient l'acheminement routier des matières dangereuses, le suivi des matières à haut risque pour les transporteurs routiers, l'établissement d'un programme d'examen des plans de sécurité des matières dangereuses, une évaluation de la sécurité des camions, un système d'intervention national du secteur public et des subventions pour la sécurité des autobus routiers. La Chambre a adopté la version de la Commission du 11/9 et les projets de loi sur la sécurité des transports ne contiennent pas ces dispositions, de sorte que la conférence Chambre-Sénat sur ces projets de loi déterminera s'ils sont inclus dans le projet de loi final de la Conférence.

CVSA se joint à la Coalition d'incitation à la sécurité

CVSA s'associe à la Motor and Equipment Manufacturers Association et à d'autres groupes pour obtenir une législation sur le crédit d'impôt afin d'encourager l'achat de technologies de sécurité par les transporteurs routiers. De nouveaux systèmes technologiques de sécurité qui arrivent sur le marché se révèlent efficaces pour réduire les accidents et sauver des vies. Le défi est de savoir comment encourager une utilisation plus répandue de ces systèmes de sécurité par les transporteurs routiers.

Les membres de la coalition étudient des technologies telles que la stabilité des véhicules, l'alerte de départ à terre, l'alerte de collision avant; détection d'objets latéraux et systèmes de surveillance des freins. Pour que l'effort législatif soit couronné de succès, les crédits d'impôt seraient disponibles pour de larges catégories de systèmes de technologie de sécurité, plutôt que pour des technologies spécifiques.

On espère qu'un projet de loi pourra être rédigé avant le 1er mai.